JE SUIS XTRATUF : ANDREW 'COTTY' COTON

À PROPOS DU COTON ANDREW 'COTTY'  
 
Andrew Cotton est surtout connu pour avoir surfé sur certaines des vagues les plus grandes et les plus dangereuses du monde : troquant les vagues de 100 pieds contre des lacs glacés, Andrew a poussé ses limites pour relever le tout premier « Défi des Trois Lacs ».  

L'hiver est consacré à la poursuite des grosses vagues, partageant mon temps entre l'ouest de l'Irlande et Nazaré au Portugal. Au cours des 15 dernières années, j'ai parcouru le monde à la poursuite des tempêtes, déterminé à trouver et à vaincre des vagues que personne d'autre n'avait pu faire.  

2022 s’est révélé être le moment idéal pour se lancer dans une nouvelle aventure, tout en poursuivant l’entraînement pendant l’intersaison. Je me suis lancé le défi de marcher et de nager (sans combinaison) dans les trois lacs les plus hauts du Royaume-Uni.

La météo au printemps au Royaume-Uni est difficile à prévoir : le soleil une minute, le vent, la pluie et la grêle la minute suivante. Une chose dont je pouvais être sûr était la température de l’eau – qui dépasse à peine 0°c. Les nageurs en plein air appellent ces températures « baltiques ». En entrant dans l’eau, la respiration peut être difficile et l’eau brûle la peau, et le temps passé dans l’eau ne doit pas dépasser quelques minutes. Pour cette raison, le temps passé à nager dans chaque lac ne pouvait pas être calculé avant d'avoir vérifié la température avant d'y entrer, ce qui rendait la montée vers chaque baignade encore plus intimidante.

Le défi s’est déroulé sur une courte période de trois jours consécutifs dans trois pays différents. Voyagez du nord du Devon à la région des lacs pour nager dans le lac de 80 pieds de profondeur, « Red Tarn ». Suivi par le Loch Etchachan dans le parc national des Cairngorms, dans les Highlands écossaises, réputé pour retenir la glace 7 mois par an. Un total de 1256 milles de route pour finir à Llyn Llyffant dans le parc national de Snowdonia au Pays de Galles.

Chaque baignade était une sortie de ma zone de confort : même lorsque je surfe sur les plus grosses vagues dans les houles les plus dangereuses, je me sens en confiance dans l'océan. Ces environnements étaient nouveaux et impitoyables, et pas seulement dans l'eau : marcher plus de 60 km en trois jours pour atteindre chaque lac dans des conditions météorologiques toujours changeantes était implacable et dangereux. 

Est-ce que je le referais ? Absolument. 
 
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Youtube – Andrew Cotton Surfeur